dimanche 31 août 2014

Reresalut !
Bon bah voilà, cette semaine touche à sa fin. Mais, je ne pouvais pas la clore sans vous parler de Nos étoiles contraires. 


Bon, je ne vais pas faire de mystères, j'ai tout simplement adoré le film ! Il m'a transporté, subjugué, émerveillé ... Je suis fan, un point c'est tout. Et nous allons voir pourquoi !

Une adaptation en tout point réussie

C'est bien simple, Josh Boone n'a commis aucune erreur fatale sur le roman d'origine ! Oui, certaines scènes n'y sont pas, d'autres sont légèrement modifiées, mais on s'en fout ! On ne le voit même pas directement quand on est dans la salle. L'ambiance du film est identique à celle du roman ! Aussi charmeuse, aussi envoûtante, aussi sublime. La philosophie du roman est parfaitement retranscrite. Vous savez, ce film aurait pu, par un petit pas de côté tombé dans un pathos dérangeant et nullissime. Mais Josh Boone, le réalisateur, conserve ce qui fait de Nos étoiles contraires un roman à part. Il a compris le roman et il le montre. La preuve ? Il n'a pas réalisé un film sur le cancer, ou sur la mort, mais bien un film sur la vie et sur les cadeaux qu'elle peut nous offrir. Et à partir de là, c'est déjà gagné ! On retrouve les personnages qui nous ont fait rêver, l'histoire qui nous a fait traverser un nuage d'émotions contraires, autant d'étoiles qui ont fait briller nos yeux, soit à cause de notre émerveillement, soit parce qu'on pleurait.Voire même un peu des deux ... 

Un casting brillant pour des personnages touchants

Gus est un grand personnage. Ansel Elgort est un super acteur. Shailene Woodley est une putain d'actrice et Hazel est une jeune femme fabuleuse. Gus fait partie des gens que l'on aimerait pouvoir compter dans ses proches. Il est un ami parfait, vers qui on peut se tourner quand on a des problèmes. Il est un garçon dont tout le monde tomberait très facilement amoureux. Hazel, elle, c'est plus compliqué. Elle est à part, flamme dansante sur la vie qui la consume petit à petit. Certains restaient sceptiques quant au choix d'Ansel Elgort pour Augustus, moi pas. Et il ne m'a pas déçu. Shailene Woodley, dans un jeu tout en sincérité, en émotions et en force de caractère, réussit l'audacieux pari d'incarner Hazel Grace. Quant à Nat Wolf, il est tout simplement celui qu'il fallait pour jouer Isaac. L'acteur de Van Houten est lui aussi fidèle au personnage du roman, un sale con égocentrique et alcoolique. Brillant ! 

Le poids des mots, le choc des images

Une bande originale sensible et parfaite ... Des acteurs géniaux incarnant à la perfection des personnages tout aussi fabuleux ... Une adaptation réussie haut la main ... L'alchimie ne pouvait que prendre avec les lecteurs du roman de John Green. Et ça n'a pas loupé. Vous savez, lire un roman et voir un film sont des expériences très différentes. D'abord parce que le réalisateur n'a parfois pas la même vision que nous (ce n'est pas le cas ici) mais ensuite parce qu'on ne peut pas échapper aux images au cinéma comme on peut échapper aux mots dans un roman. On ne peut pas éviter un passage dérangeant ou émotionnellement puissant ... Alors, oui, je le crie haut et fort, j'ai pleuré pour le roman, et j'ai encore pleuré pour le film. Parce que c'est trop d'un coup .. Parce que je ne voulais pas ... (SPOILER) je ne voulais pas que Gus meurt encore une seconde fois ... Parce qu'il mérite de vivre putain ! (SPOILER)

Alors maintenant, passez-moi une clope, mais ne comptez pas sur moi pour l'allumer.



Théo

1 commentaires:

  1. Il me fait très envie, je suis impatiente d'aller le voir :) et je sais déjà que ne serai pas la seule à y aller ^^

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Salut !!
Merci de laisser une trace de votre passage, avec politesse, cela va de soi !!
Amicalement
Théo