Une petite photo de la plage d'Anglet (Pays Basque) où je suis allé me promener il y a quelques jours |
On est dimanche, et alors que pour certains les vacances se terminent, pour d'autres elles ne font que commencer. Et puis il y a ceux comme moi, pour qui ce dimanche n'en est pas un, perdu au milieu de deux semaines de vacances. Pile au milieu. A vous de voir, ne vous reste t-il qu'une semaine de vacances ou bien vous reste t-il encore une semaine de vacances ?
Mais là n'est pas ce dont je voulais vous parler aujourd'hui. Non, je voudrais parler d'un autre problème. Grave. Depuis le début de l'année, je n'ai lu que deux livres : Dans le désordre, de Marion Brunet, et Le soleil est pour toi, de Jandy Nelson. Pourquoi ? Par manque de temps. Où est le problème alors ? Les mots me manquent, et plus le temps passe, plus les livres semblent s'éloigner, devenant presque étrangers.
Mais comment enrayer la machine ? En lisant me direz-vous. Seulement encore faut-il en avoir le temps. Entre les devoirs et la préparation du concours, je ne saurai trouver du temps. Je lis, mais pas les romans qui m'attendent dans ma bibliothèque. Je lis des magazines, des journaux, je lis la presse, en français et un peu en anglais. Le reste de mon temps, je le passe avec des amis, ma famille, et aussi, je l'avoue, devant la télé. Mais bon, j'ai bien le droit de suivre quelques séries nan ?
Cependant, tout n'est pas perdu. Si je perds des batailles, des semaines sans lire une ligne pour mon plaisir, j'en gagne aussi. Des victoires étincelantes, magiques. Comme mercredi et jeudi par exemple, lorsque je me suis régalé à la lecture de Le soleil est pour toi. Je vous en parlerai plus longuement bientôt. Ce roman m'a fait tomber amoureux de lui, et retomber amoureux des romans. Oh, il n'est peut-être pas le roman le plus parfait, mais il est lumineux, il est beau, il est doux. Ce roman est un soleil, éclatant, réchauffant, réconfortant. Il m'a fait ressentir une joie indescriptible, m'a donné un sourire immense et m'a replongé dans un monde de mots et de rêves, de lettres et de sensations, un monde puissant, infini. Alors merci, merci et encore merci.
Rassurez-vous, la guerre n'est pas perdue, ce blog vivra, et je continuerai à lire. D'ailleurs le prochain roman d'Olivier Norek, Surtensions, à paraître le 31 mars m'attend sur le coin de mon lit, comme la promesse d'un moment particulier, partagé entre le plaisir de retrouver les mot, et la tension et le suspense qui se dégageront, c'est certain, de ce roman.
A tout bientôt,
Livresquement,
Théo
Tu retrouveras le goût de la lecture, il faut parfois faire une pause même si l'on ne sait pas exactement pourquoi...
RépondreSupprimerJe suis dans le même cas que toi, au milieu de mes vacances! :)
Je crois que la pause a assez duré :p J'ai fini Surtensions dans la journée, j'ai adoré :)
SupprimerMerci de ton commentaire ;)
T.
Courage, Théo ! Ce genre de "coupure" est fréquent au moment des études, quand on est très sollicité par ailleurs, et que le reste du temps, on ne rêve plus que de se légumer devant la télé pour mettre ses neurones au repos. Mais tu es imprégné de la magie des mots, tu es un blogueur littéraire-né et tu reviendras aux livres, sois-en certain... :)
RépondreSupprimerAmitiés,
Elen
Merci Elen ! Je crois que j'y reviens déjà ! Vive les vacances :p
SupprimerA très vite, ici ou sur Facebook,
Théo